20 novembre 2024
Journée internationnal des droits de l’enfant au Canada
la Journée nationale de l’enfant le 20 novembre
- L’Organisation des Nations Unies a adopté la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (CRDE) le 20 novembre 1989. Le Canada l’a ratifié en 1991, et s’est engagé à veiller à ce que tous les enfants soient traités avec dignité et respect et à ce qu’ils profitent de toutes les occasions pour rejoindre leur plein potentiel. Cet engagement comprend :
- donner aux enfants la possibilité de se faire entendre (s’exprimer et être entendu);
- protéger les enfants contre le danger;
- s’assurer que les besoins fondamentaux des enfants sont comblés.
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18 au 24 novembre 2024
Grande semaine des tout-petits- 2024
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23 au 29 octobre 2023.
Semaine nationale des éducatrices et éducateurs de la petite enfance
La Semaine vise à souligner le précieux travail qu’accomplissent le personnel éducateur en installation et les personnes responsables d’un service de garde éducatif en milieu familial (RSGE), de même qu’à mettre en valeur le métier.
La population, et plus particulièrement les parents, est invitée à rendre hommage au personnel éducateur et aux RSGE. C’est l’occasion de prendre un moment pour remercier celles et ceux qui permettent chaque jour à nos tout-petits de développer leur plein potentiel.
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20 et 21 avril 2023
Adoption du cahier des demandes- négo 2023.
27 mai 2022
Grand chantier pour les familles – Le ministre Mathieu Lacombe crée la Semaine nationale des éducatrices et éducateurs de la petite enfance
TROIS-RIVIÈRES, QC, le 27 mai 2022 /CNW Telbec/ – Le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, a annoncé aujourd’hui la création de la Semaine nationale des éducatrices et éducateurs de la petite enfance afin de souligner leur précieux travail et de valoriser le métier. Celle-ci se déroulera annuellement à travers le Québec la dernière semaine du mois d’octobre. Sa première édition se tiendra du 24 au 30 octobre 2022.
S’inscrivant dans le cadre du Grand chantier pour les familles, lancé en octobre dernier, cette Semaine vise à reconnaître le travail, les compétences et l’engagement de ceux et celles qui travaillent quotidiennement auprès de nos tout-petits.
Cette initiative s’ajoute au lancement d’une campagne de publicité grand public visant à promouvoir et valoriser le métier d’éducatrice et d’éducateur de la petite enfance. Cette campagne, déployée dans les grands médias nationaux et sur le Web, a commencé le 16 mai et se poursuivra jusqu’au 30 juin prochain. .
Rappelons que le Grand chantier pour les familles incluait une série de mesures destinées à assurer une main-d’œuvre qualifiée en nombre suffisant pour répondre aux besoins des services de garde éducatifs à l’enfance d’ici 2025. Ces mesures permettent actuellement d’importantes améliorations aux conditions de travail, à la formation, à la valorisation et à la rétention du personnel.
Citation :
« Je suis très heureux aujourd’hui de lancer cette Semaine nationale des éducatrices et éducateurs de la petite enfance. Je suis conscient de leur importance et du rôle qu’ils jouent tous les jours auprès de nos tout-petits. Une réelle reconnaissance marquée par une semaine de valorisation à la grandeur du Québec nous donnera l’occasion de souligner en grand leur engagement, qui est particulièrement exceptionnel en tout temps et surtout ces deux dernières années. En créant la Semaine de reconnaissance et de valorisation, nous voulons réserver un moment particulier qui permettra à tous les parents de remercier l’éducatrice ou l’éducateur de leur enfant et aux employeurs et autres acteurs du milieu de souligner le mérite extraordinaire des femmes et des hommes qui permettent à nos tout-petits de développer leur plein potentiel. Rappelons que cette mesure s’ajoute à des investissements majeurs visant à rehausser les conditions salariales, l’accès à la formation et à la qualification. »
Mathieu Lacombe, ministre de la Famille
Faits saillants :
- La première Semaine nationale des éducatrices et éducateurs de la petite enfance se déroulera du 24 au 30 octobre 2022.
- Une série de mesures ont été lancées en janvier 2022 dans le cadre de l’Opération main-d’œuvre du gouvernement du Québec dans le but d’assurer l’embauche ou la qualification de 25 000 éducatrices et éducateurs de la petite enfance.
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7 avril 2022
Adoption du projet de loi 1 : une occasion manquée de faire mieux pour les familles
Montréal, le 7 avril 2022 — Bien qu’elle salue l’effort mis pour améliorer la situation, la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) accueille avec déception l’adoption telle quelle du projet de loi 1. Dans un contexte de manque criant de places subventionnées et de travailleuses, la FSSS-CSN pense que le ministre de la Famille aurait dû profiter du changement de loi pour doter le Québec d’un véritable réseau complet de services de garde éducatifs à contribution réduite.
Pour Lucie Longchamps, vice-présidente des secteurs privés à FSSS-CSN : « La conversion des garderies privées vers le réseau des CPE et des milieux familiaux régis n’est pas assez importante. On va rester avec un réseau à deux vitesses encore trop longtemps pour trop de parents et d’enfants. Pourquoi ne pas faire immédiatement ce qui devrait être fait pour un réseau de garde uniforme ? »
Pour la FSSS-CSN la question des personnes non reconnues en service de garde reste également un enjeu. Pour Chantal Racicot, représentante du secteur des Responsables des Services de garde en milieu familial de la FSSS-CSN « Des changements législatifs et des projets de loi ça ne se change pas si souvent, ça aurait été le moment d’en faire plus pour le réseau des services de garde. Ce changement de loi était une occasion en or d’inclure plus rapidement au réseau et surtout de subventionner les responsables de services de garde non reconnues, quatre ans ce sera beaucoup trop long pour des milliers de parents et surtout d’enfants qui sont dans ces services sans réelle surveillance. »
Rappelons également que la notion du ratio-bâtisse dans les CPE n’a pas été retirée de ce projet de loi. C’est un grand enjeu pour la FSSS-CSN à cause de la surréservation qu’elle engendre. Pour Stéphanie Vachon, représentante des CPE, la position du ministre sur la question du ratio-bâtisse est décourageante. « Le ministre vise la flexibilité, mais au quotidien dans les CPE, les éducatrices vivent avec de l’overbooking. Le ratio enfant-éducatrice déborde presque toute la journée, tous les jours! On ne peut pas continuer comme ça! »
« Le manque criant de places en service de garde, surtout dans les services de qualité à contribution réduite comme les CPE ou en milieu familial subventionné, enferme des milliers de femmes devant le non-choix de devoir rester à la maison. Nous nous attendons encore à ce que le ministre en fasse davantage! », de conclure Lucie Longchamps.
1 avril 2022
21 mars 2022
Pour un accès réel aux services de garde à contribution réduite
Samedi le 19 mars dernier, une manifestation a eu lieu devant l’Assemblée nationale de Québec pour souligner le premier anniversaire du mouvement citoyen Ma place au travail qui milite pour l’accessibilité à des services de garde de qualité. En même temps, c’est désolant, car cela signifie qu’il y a encore des milliers de parents qui espèrent une place de qualité et surtout à contribution réduite.
Depuis la création de ce regroupement, il y a eu du soutien mutuel entre Ma place au travail et la FSSS-CSN, que ce soit lors de la commission parlementaire pour le PL-1 ou lors des jours de grève des CPE FSSS CSN.
Ma place au travail, c’est un mouvement citoyen juste qui touche tout le monde. Nous avons tous de près ou de loin, un-e ami-e, un parent, un-e voisin-e qui est à la recherche d’une place de qualité, qui retarde une grossesse ou encore qui est anxieux d’agrandir sa famille de peur de manquer d’argent par faute d’une place de qualité et à contribution réduite, ou pire, de ne pas pouvoir retourner au travail faute d’une place.
Le recul du droit des femmes pendant la pandémie est un fait. Certains l’évaluent à une dizaine d’années. En y ajoutant le manque de place de qualité et à contribution réduite, cela devient une catastrophe pour plusieurs jeunes familles, voire des centaines d’entre elles, et surtout pour les femmes alors contraintes dans beaucoup de cas de demeurer à la maison. Il y a urgence d’agir!
La FSSS obtient le rehaussement de la rémunération des responsables en service de garde (RSG)
Après 7 années de travaux acharnés, la FSSS a obtenu un rehaussement de la rémunération des RSG qui entrera en vigueur le 1er avril 2022. Malgré ce gain important, nous avons interpellé le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe et son cabinet, que ce soit par des échanges francs, voire musclés en certaines occasions, ou encore par des communications officielles, afin que son gouvernement n’abolisse pas l’incitatif de 3 000 $ prévu en 2023 pour les RSG.
Nous avons reçu dernièrement une réponse tout aussi officielle du secrétariat du Conseil du Trésor dont le refus est sans équivoque. Malgré cela, nous réitérons qu’il est toujours possible de ne pas abolir cet incitatif, de changer cet enlignement. Il en va de la confiance des RSG envers leur gouvernement, du maintien de places de qualité et surtout de la confiance envers le ministre Lacombe qui est le premier à constater la hausse des demandes pour devenir RSG, il ne faudrait pas que cette décision annule les pas que nous avons faits.
Lucie Longchamp, vice-présidente des secteurs privés FSSS-CSN
Photo: Nicolas Phébus
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La FSSS-CSN suivra de près le programme de recrutement dans les services de garde
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17 JAN 22
Pour la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN), continuer d’améliorer les conditions des travailleuses et travailleurs reste le meilleur moyen de recruter la relève dans les services de garde éducatifs à l’enfance. Le ministre de la Famille annonçait aujourd’hui son programme de recrutement ayant pour obtenir d’attirer le personnel pour augmenter le nombre de places dans le réseau.
La FSSS-CSN est heureuse de constater que le ministère de la Famille prend des moyens d’attirer la relève pour combler le manque de places en service de garde. Le gouvernement doit agir pour attirer l’ensemble du personnel des services de garde et bureaux coordonnateurs. Elle suivra de près l’application du programme de recrutement et invite le ministre à discuter avec nous de l’application des mesures. La Fédération veut de plus s’assurer que le niveau de formation soit maintenu. Elle rappelle que la création de nouvelles places doit se faire uniquement dans les CPE et les milieux familiaux régis et subventionnés, là où les services aux enfants sont de la meilleure qualité. La FSSS-CSN réclame aussi plus d’actions pour mieux protéger le personnel des services de garde, dont l’accès aux masques N95.
« Les résultats de la dernière négociation des CPE, où la détermination des travailleuses a entraîné de nombreux gains, sont la meilleure carte de visite pour convaincre des gens de venir travailler dans le réseau des services de garde éducatifs. Il faut continuer de faire mieux, notamment en réglant l’enjeu des ratios d’enfants par éducatrice. C’est la clé pour rendre le réseau plus attrayant », lance Lucie Longchamps, vice-présidente de la FSSS-CSN.
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Un changement d’approche qui met à risque le personnel des services de garde
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14 JAN 22
La Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) s’étonne d’un énième changement d’approche qui vient mettre à risque les travailleuses et travailleurs et les enfants qui fréquentent les CPE et les services de garde en milieu familial. La FSSS-CSN réclame l’accès aux masques N95 pour le personnel des services de garde.
Le gouvernement annonce aujourd’hui de nouvelles consignes pour la gestion des cas et des contacts, remettant en question les consignes annoncées le 4 janvier dernier. Ces consignes, venant notamment affaiblir les mesures d’isolement en maintenant ouverts des groupes après la découverte d’un cas, ont de quoi inquiéter. Il en va de même de la gestion des cas confirmés à l’aide de tests rapides en lieu et place de tests confirmés par laboratoire. Cette décision, qui accroît considérablement les risques auxquels sera exposé le personnel des services de garde, intervient alors même que tout n’est pas fait pour assurer la protection du personnel et des enfants face à la transmission aérienne du virus. La FSSS-CSN demande l’accès aux tests rapides pour le personnel, que l’ensemble du personnel atteint de la COVID soit automatiquement couvert par la CNESST et une augmentation des journées de la banque COVID pour les responsables de service de garde en milieu familial.
« Ces incessants changements dans les consignes finissent par perdre tout le monde. Ce qu’il faut actuellement, ce n’est pas d’assouplir les consignes, mais bien de mieux protéger les travailleuses, les enfants et les familles de ceux-ci. Ce que le gouvernement doit faire, c’est rendre disponibles les masques N95 dans les CPE et les milieux familiaux », explique Lucie Longchamps, vice-présidente de la FSSS-CSN.
Rencontre d’urgence réclamée avec la CNESST
La FSSS-CSN interpelle aussi la CNESST afin qu’elle convoque d’urgence les acteurs du réseau des services de garde éducatifs à l’enfance et les experts en santé et sécurité au travail afin que des directives claires et conformes à la Loi sur la santé et la sécurité au travail soient émises sans délai.
« Il n’y a pas de compromis à faire avec la santé et la sécurité du personnel dans les services de garde. La CNESST a un rôle important à jouer, alors qu’on s’apprête à accroitre les risques dans ces milieux », de conclure Judith Huot, vice-présidente de la FSSS-CSN.
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09 Novembre 2021
Nous sommes heureux de vous annoncer que la proposition concernant le projet de lettre d’entente sur le rehaussement de la rémunération de la RSG a été adoptée à 94.57% dans les assemblées pour lesquelles il y a eu quorum.
Rappelons que le conseil sectoriel des Responsables de service de garde en milieu familial a adopté la proposition ministérielle concernant la réévaluation de la rémunération de la RSG et en recommandait son adoption par les syndicats affiliés.
Cette entente entraînera une amélioration concrète du quotidien des RSG. Face aux nombreux défis de notre profession, cette victoire est plus que bienvenue.
Nous poursuivrons nos représentations dans les mois à venir pour continuer de défendre les intérêts des RSG.
La FSSS-CSN dans les services de garde en milieu familial
La FSSS-CSN est l’organisation syndicale la plus importante dans la santé et les services sociaux au Québec et une organisation incontournable dans le secteur de la petite enfance.
En milieu familial, la Fédération représente environ 2 000 responsables en service de garde (RSG) qui sont regroupées en syndicats régionaux.
Dans les Centres de la petite enfance (CPE), elle regroupe plus de 10 000 travailleuses syndiquées.
La FSSS, une force incontournable
Sa représentativité mais aussi son expérience de négociation fait de la FSSS-CSN une organisation incontournable face aux employeurs et au gouvernement. En effet, depuis sa création en 1947, elle a maintes fois démontré sa capacité à mobiliser ses membres en vue d’obtenir des gains appréciables pour l’amélioration des conditions de travail et de vie en général.
Autonomie décisionnelle des syndicats
La Fédération s’est donnée une structure démocratique qui permet à chaque secteur d’activité, dont celui des services de garde en milieu familial, d’obtenir la pleine autonomie de fonctionnement et de négociation des conditions de travail. Outre la coordination de la négociation des conventions collectives, le secteur assure le suivi des décisions en conformité avec les orientations générales adoptées par les délégué-es au congrès de la FSSS-CSN.
La représentante de secteur des RSG
Lors du congrès de la FSSS , le 10 novembre 2021, une nouvelle Représentante du secteur des RSG-CSN a été élue.
Elle succède ainsi à Mme Julie Roch .
Elle est notamment responsable politique de son secteur dans le cadre des orientations et des politiques votées par les instances de la Fédération. En plus d’agir à titre d’interlocutrice et de personne ressources sur des dossiers spécifiques, la représentante du secteur voit à l’exécution des mandats qui lui sont confiés en coordination avec la vice-présidence des secteurs privés.